Jusqu’à la fin, nous ne cesserons de nous dire que nous sommes bénis.
Nous sommes une nation sainte, un sacerdoce royal, un peuple acquis, une race elue.
Nous sommes bénis de toutes sortes de bénédictions.
Ne regardons pas à notre situation actuelle, nous sommes les héritiers de la promesse que Dieu a donné à Abraham.
Ce n’est pas une blague, nous sommes hautement bénis.
C’est nous qui ne sommes pas conscients de qui nous sommes, nous ne connaissons pas ce que nous portons.
La bible nous appelle la lumière du monde, le sel de la terre.
Et nous, nous nous sousestimons, nous voyons les autres comme au dessus de nous pourtant nous sommes le temple du Saint Esprit.
Si nous doutons, allons lire l’histoire de Balaam et Balack.
Dieu lui même donne la raison pour laquelle Balaam ne doit pas maudire le peuple d’Israël: IL EST BENI.
Et parce qu’il est béni, personne ne peut le maudire.
Parce que nous sommes bénis, Dieu nous protège et nous garde.
Ce récit nous relate qu’Israël est entrain de passer, il n’a pas l’intention de guerre, en plus, le Seigneur lui avait ordonné de ne pas attaquer Moab.
Balack, roi de Moab panique, il craint que ce peuple nombreux le terrasse.
Balack sait qu’Israël n’est pas n’importe qui, il recourt aux grands moyens et fait appel à un devin, Balaam.
Balaam a déjà une réputation, il a un nom et son image n’est plus à démontrer.
Balaam est très sollicité, il ne se déplace pas n’importe comment donc il faut mettre les moyens pour le bouger.
Balaam est séduit par les présents et les honneurs qui accompagnent la demande de Balack.
Dieu connaît nos cœurs, il voit toutes les convoitises qui s’y trouvent et parle à Balaam.
Nombres, 22:12 – Dieu dit à Balaam: Tu n`iras point avec eux; tu ne maudiras point ce peuple, car il est béni.
Thank the Lord who make sure no curse can overcome your blessings.
Balaam, tu as peut être l’habitude de faire à ta guise.
Tu es peut être grand devant les hommes, tu réussis à les épater mais moi, Dieu, je vois dans les profondeurs et aujourd’hui et maintenant, je t’ordonne et t’interdit de faire quoi que ce soit à Israël, il n’est pas comme ceux que tu as manipulé jusqu’ici.
Cette nation, c’est mon premier fils que j’ai engendré, ce n’est pas possible que je te laisse faire.
Balaam, c’est un ordre, voire même un avertissement.
Il ya Israël et il ya les autres.
Nos valeurs aux yeux de l’Eternel ne sauraient être les mêmes.
*Pas les choses que vous aimez souvent faire pour me tenter, Balaam, touche un peu à ce peuple, tu vas comprendre que ma main est puissante.*
Balaam, ce peuple a déjà reçu la bénédiction divine, aucune malédiction n’est possible.
Dieu avait déjà parlé, sa parole était déjà sortie, son alliance avait déjà été établie.
Balaam, qui es tu pour annuler les décrets de Dieu ?
Ne sais tu pas que ni l’enchantement, ni la divination ne peuvent rien contre les fils d’Abraham que nous sommes par la foi ?
Alors bénissons le Seigneur,
Élevons le plus haut,
Notre rédempteur est vivant et il se lèvera le dernier pour nous défendre.
Alleluiaaaa !
Faisons cette déclaration ensemble : *nous sommes bénis de la bénédiction d’Abraham.*
Bonjour à nous
Bonne journée
Onde D.