Plaintes!!! Stop!!!
Oh Dieu, que de plaintes!!
Nous aimons trop nous plaindre des autres, nous avons toujours quelque chose à dire des autres, nous avons toujours une remarque à faire, une critique à donner.
Nous voulons toujours que tout soit comme nous voulons sinon nous en voulons au monde.
Nous refusons de comprendre, de nous mettre à la place des autres, nous réussissons toujours à justifier qui on est et comme ca nous arrange, jamais nous le faisons pour les autres.
Nous voulons toujours tout centrer sur nous que nous sommes parfois indifférents à nos réalités, nous sommes insensibles à l’attention, nous brisons même la joie qu’il y’a de vivre ensemble.
Nous devons comprendre, jamais le besoin de recevoir une aide compatissante ne s’est fait sentir comme aujourd’hui.
Regardons autour de nous: les maladies, les guerres, la pauvreté, les catastrophes, les enlèvements…
Tous ces maux doivent réveiller en nous l’envie d’apporter une contribution, un soulagement.
Nous devons être touchés de voir autant d’âmes déprimées, autant de douleurs…
Au lieu d’endurcir nos coeurs, remontons le moral des autres, apaisons les coeurs apeurés.
En général, nous sommes à l’aise quand il s’agit des nôtres, nous les supportons plus, nous les acceptons plus mais nous refusons de faire des efforts quand il s’agit des autres, des étrangers, nous les trouvons encombrants, étouffants, intéressés.
Il ne s’agit pas de cela.
C’est même ca que Dieu veut rectifier ce matin,
il veut nous inviter à arrêter les murmures,
il veut changer nos façons de gérer ces choses,
il veut nous apprendre à manifester la compassion,
il veut que nous sachions que l’amour est bien au delà de notre différence sociale,
il veut nous interpeler sur le fait qu’avoir de la compassion n’a pas de règle d’or.
On n’aide pas par affinités comme la société nous le dit, nous le faisons parce que Jésus nous a aimé en premier.
Nous sommes tous là pour une mission, pour un service.
Compatir, c’est tendre la main encore et encore jusqu’à ce que nous puissions marcher seul, sans trébuche,
c’est dépasser sa souffrance tout en aidant l’autre à en faire autant.
Arrêtons de nous inquiéter et de nous fermer à tout élan de compassion et d’amour.
Dans Jacques, 5:9 – Ne vous plaignez pas les uns des autres, frères, afin que vous ne soyez pas jugés: voici, le juge est à la porte.
Let compassion help you not to complain about others.
Se plaindre, c’est un mauvais esprit, nous ne racontons pas ce que nous avons subi pour que les choses s’améliorent en général, nous le faisons pour diviser, pour juger.
Mais Dieu nous dit de changer d’attitude, de ne pas laisser la chair nous éloigner de la volonté de Dieu.
Personne n’est parfaite et ce que nous reprochons aux autres,
ce pourquoi nous condamnons les autres nous enverra en prison à notre tour.
Soyons indulgents et pronons la tolérance.
Bonjour la famille
Bonne journée
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Onde D.