Après avoir pensé à l’orphelin, nous nous invitons à bénir notre assemblée.
Cela nous semble bizarre de le dire mais nous devons nous rendre à l’évidence que notre église a aussi besoin de nous.
Nous ne sommes pas des figurants, nous ne sommes pas des passants, ni des étrangers, nous sommes entrain de parler de notre autel, notre lieu d’adoration.
Le Seigneur ne veut pas nous offrir une nouvelle année et nous refusons de saisir les brèches qu’il nous tend.
Comment expliquer que nous sommes régulier dans un temple mais c’est ailleurs que nous semons, c’est de l’autre côté que nous donnons nos offrandes quand notre assemblée a des besoins.
Nous sommes sans amour pour notre berger et nous croyons que les autres viendront faire confiance de notre onction?
Nous voulons être des religieux qui croyons tout maîtriser si bien que nous ne connaissons même plus les principes spirituels.
Arrêtons de saturer les assemblées quand nos regards sont tournés vers l’Égypte.
Que nous le voyons ou pas, nous devons nourrir l’autel de Dieu, la maison du Seigneur ne va manquer de rien, l’homme de Dieu doit se concentrer à creuser les profondeurs de l’esprit sans s’inquiéter du manque de générosité de son public.
Et la bénédiction passe aussi par la douloureuse, oui, l’argent fait partie de la bénédiction de notre assemblée.
Nous pouvons prier pour notre ministère et même chanter à la chorale ou aller à l’évangélisation, c’est bien mais dans tout ça, nous avons besoin d’argent pour accomplir l’oeuvre de Dieu.
C’est notre mois de partage alors partageons ce que nous avons, distribuons avec amour nos biens avec les démunis.
Be a source of blessings for your congregation.
Actes, 2:45 – Ils vendaient leurs propriétés et leurs biens, et ils en partageaient le produit entre tous, selon les besoins de chacun.
Aux temps de l’église primitive, les gens avaient encore un cœur pur, l’église était vraie et pure.
Tout le monde était impliquer dans le problème de tout le monde, tout le monde se sentait concerné quand un frère était dans une situation difficile.
En ce temps là, pour résoudre un problème, des personnes vendaient leurs biens, ils donnaient avec joie parce qu’autrui devait sortir de son trouble.
Pour eux, secourir le prochain n’était pas un problème, ils étaient tous un appui pour tous et c’est ce qui nous manque aujourd’hui.
Cet amour, cette générosité, cette symbiose qui pouvait restaurer l’église et que malheureusement nous avons tous perdu.
Mais l’Éternel veut nous dire que c’est encore possible de retourner à cette pure relation, à cette communion authentique.
Nous devons juste faire confiance au Seigneur et sécuriser notre foi en Jésus.
Et certainement, nous serons un témoignage dans l’assemblée auprès de Dieu.
Alors, c’est à nous de jouer!
Bonjour à tous
Bonne journée
Onde D.