Mon Mois D’investissements! Eccl11:1

Nous avons dit plusieurs fois ici que l’on ne donne pas seulement parce que nous en avons, nous donnons par amour, nous donnons par obéissance à la parole.
Donner n’est pas une affaire des riches, partager n’est pas pour des personnes spéciales.
Plusieurs fois, nous ne nous sommes pas impliqués dans un programme à l’église parce que nous nous sommes considérés comme des assistés.
Plusieurs fois, nous avons dénigré les autres en leur offrant nos vêtements inutiles, dégradés pourtant nous en avons assez.
Plusieurs fois, nous avons manqué de contribuer aux soins médicaux d’un nécessiteux pourtant nous en avions les moyens.
En tout cas, lorsqu’il s’agit de la douloureuse, tout le monde recule, personne ne veut se mêler, personne ne veut dépenser.
L’aide, c’est une question de relation, pensons nous parfois.
La bible nous dit que que Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son fils unique, cela signifie qu’il n’y avait ni condition, ni rang social.
Son amour pour les autres était sans faille, disponible.
Donner s’accompagne de l’amour.
Nous donnons parce que notre prochain doit être comme nous, nous donnons sans intérêt.
Abraham a vu trois hommes passer devant sa porte, il ne les connaissait pas mais il a voulu leur tendre la main.
Abraham a sûrement compris que c’était des étrangers dans le besoin, il leur a offert son hospitalité.
Le Serviteur de Dieu n’a pas regardé à ce qu’il devait dépenser, il n’a pas calculé, il les a acceuili sans arrières pensées.
Il était conscient de la fatigue que ces personnes pouvaient avoir après un long voyage.
Spontanément, il a ouvert ses portes, il a investi de son temps, de son repas, de son confort, de sa sécurité pour des personnes qu’ils ne connaissaient pas et la bénédiction est entrée dans sa maison, Dieu lui même était présent et le ciel s’est ouvert dans cette maison.
Et si c’était toi et moi ?
Aurions nous été capables d’accepter des invités étranges sous notre toit ?
Nous devrions tout imaginer, nous devrions dire que ce sont des sorciers, nous devrions créer toutes sortes de raisons spirituelles pour justifier notre chicheté.
Notre nature égoïste devait prévaloir ou alors nous devons nous rassurer de ce que tout le monde soit au courant de notre geste envers un pauvre pour être félicités.
Donner ne se limite pas seulement à la quantité mais aussi à la qualité.
Dorcas vivait pour les autres, elle investissait tout ce qu’elle avait pour qu’une veuve ne manque de rien, pour qu’un orphelin ne s’égare pas.
Elle les nourrissait, elle les vêtissait.
Dorcas était toujours disponible, elle voulait voir le bonheur autour d’elle.
Elle avait un cœur d’amour pour les nécessiteux.
Elle était une mère jusqu’au point où sa mort a déchiré plus d’un mais sa fidélité au Seigneur la ramèné à la vie.
Nous ne pouvons pas dire que nous servons le Seigneur sans soutenir les autres, nous ne pouvons pas parler de la communion fraternelle au milieu des divisions et des haines.
Même l’aumône, nous sommes nourris de prétextes pour ne pas exécuter la volonté de Dieu.
Pour confirmer cette parole de toujours donner aux pauvres, Yaweh nous parle le livre de Proverbes, 19:17 – Celui qui a pitié du pauvre prête à l`Éternel, Qui lui rendra selon son oeuvre.
Pray to invest relentlessly in giving.
Ne soyons pas insensibles à la souffrance des plus denumis.
Ce que nous faisons est un prêt à l’Eternel.
Donner au pauvre est un emprunt au Seigneur.
N’attendons de retour que de l’Eternel, sa caution est une garantie et c’est merveilleux d’avoir un compte bancaire dans la banque de Dieu.
Donne !
Donnons !
Donnez !
C’est la consigne du jour.
Bonjour à nous
Bonne journée

Onde D.

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