Pour notre premier dimanche de l’année, le Seigneur dépose un sujet délicat sur la table.
Ça ne nous plaît pas, c’est pas grave.
Il n’a pas besoin de notre avis,
il n’est pas intéressé par nos ressentis,
il dit et il impose la direction.
Si nous voulons prendre, c’est ok pour lui sinon que chacun s’assied bien sur sa chaise.
Les débats que nous fabriquons dans les quartiers sans en avoir la connaissance,
les paroles que nous sortons de nos bouches quand il s’agit de donner est juste lamentable mais ce matin, le point que l’Éternel évoque c’est la douloureuse
Nous sommes déjà nerveux,
nous sommes déjà mal à l’aise,
c’est un sujet qui fâche, c’est une question qui refroidit.
En tout cas, nous sommes tous là pour la vérité et la vérité, c’est que l’offrande et la dîme font parties de l’évangile.
Arrêtons de faire comme si c’est le vol,
arrêtons de faire croire que ce n’est pas biblique, arrêtons de piétiner le couloir des autres.
L’évangile n’est pas gratuit, nous devons le savoir.
Comment pouvons nous concevoir que Yaweh nous a donné d’entrer dans une nouvelle année et nous le prenons comme normal, acquis.
Nous ne pensons pas que c’est notre responsabilité de faire une offrande de reconnaissance,
nous ne pensons pas que c’est une occasion de faire une action de grâce,
nous ne préparons même pas un moment pour faire la pause et renégocier la suite avec notre Père.
C’est qui est terrible, nous pensons toujours à faire un cadeau à nos parents parce qu’ils nous ont mis au monde,
nous pensons qu’ils méritent d’être plus confortable,
nous offrons de petits paquets à nos patrons pour nous démarquer et leur dire merci pour la confiance mais quand il faut faire un geste pour Dieu, chacun tire sa chaise pour gaspiller sa salive et entrer dans les raisonnements.
Nous osons nous lever et aller voir un homme de Dieu les mains vides et nous nous plaignons de nos frustrations,
Nous ne savons pas retourner au Seigneur quand ce pourquoi le sommeil nous avait quitté a trouvé une solution.
Nous nous disons que c’est le pasteur qui en profite et nous oublions très vite que c’est lui que le Seigneur a utilisé.
Bien-aimés, l’ouvrier mérite son salaire,
si nous voulons que l’homme de Dieu soit toujours en forme pour intercéder pour nous, nous devons aussi le mettre à l’aise, ce n’est pas une discussion.
Nous sommes tellement ingrats que parfois ce n’est pas la grâce qui nous bénit qui bénéficie de nos fruits,
nous allons les déposer ailleurs et nous nous appelons enfants de maison,
nous voulons voir l’évolution ailleurs que sur notre autel.
Nous devons payer nos dîmes, ce sont les un dixième de nos revenus.
Ça ne nous regarde pas ce qu’on en fait.
Nous le donnons au Seigneur. C’est fini.
Sachons également que l’autel du Seigneur ne doit pas manquer de nourriture.
Lorsque nous allons au culte, souvenons nous de nos apports, de nos dons.
C’est pendant que nous satisfaisons le cœur de Dieu que nous sommes bénis,
il faut d’ailleurs que Dieu soit rassasié pour que la bénédiction prenne place.
Si un oint nous porte dans la prière, nous devons donner une offrande.
D’ailleurs, à chaque fois que l’Éternel fait une chose unique dans nos vies,
nous devons faire une offrande parce qu’au final, ce que nous avons, c’est le Seigneur qui nous les donne.
Il peut également décider de tous sécher, que ferons nous?
Ce n’est pas une faveur, c’est pas une doléance, ce sont les règles.
Si nous voulons être bénis, bénissons les autres.
Si nous voulons une percée financière, pratiquons la libéralité.
Dieu lui même a fait une offrande qui continue à parler dans nos vies, qui sommes nous pour résister à la parole de Dieu?
L’instruction n’est pas de donner lorsque nous voulons, c’est d’être constant, fréquent.
Dieu veille sur nous tout le temps, nous devons également avoir un cœur de gratitude tout le temps.
Be faithful in your offerings and tithes.
Malachie, 3:10 – Apportez à la maison du trésor toutes les dîmes, Afin quil y ait de la nourriture dans ma maison; Mettez-moi de la sorte à l
épreuve, Dit lÉternel des armées. Et vous verrez si je n
ouvre pas pour vous les écluses des cieux, Si je ne répands pas sur vous la bénédiction en abondance.
C’est clair et c’est net.
C’est dans la maison de Dieu que tout se dépose, pas dans les orphelinats, pas dans les léproseries, pas chez les nécessiteux…
La maison du trésor, c’est la source,
c’est la racine,
c’est là où nos richesses tirent leurs forces.
Le verset nous signale du le défi que le Seigneur lance à tous ceux qui obéissent à cette consigne.
A ceux là qui l’honorent, l’Éternel est prêt à engager tous ses réseaux pour nous donner le sourire et satisfaire nos besoins,
il est prêt à nous distinguer et à faire de nous un sujet d’étonnement.
Commençons donc notre année avec de bonnes actions.
Bonjour à tous
Bonne journée
Onde D.