Ayons de la compassion pour les autres, aimons tendrement, soyons remplis d’un désir ardent de faire du bien à notre prochain.
voilà la pensée de Dieu pour ce jour.
Qui est notre prochain?
C’est notre parent, notre voisin, notre collègue, c’est aussi une personne que nous croisons dans la rue et qui a besoin d’aide, c’est un incrédule qui ne partage pas les mêmes convictions religieuses que nous.
Notre problème majeur est que nous ne sommes pas intéressés par les souffrances des autres, nous sommes poussés à ne gérer que ce qui nous concerne nous et nos proches, nous sommes d’accord avec la société qui nous encourage clairement de respecter chacun nos couloirs.
Nous sommes devenus insoucieux, insensibles face aux difficultés d’autrui, nous n’arrivons pas à témoigner de la douceur aux autres, nous refusons de leur tendre la main ou une oreille.
Nous sommes les premiers à organiser des complots, à poser des actes hypocrites pour nous moquer et humilier notre prochain.
Être compatissant se résume sur la façon de prendre soin des autres, d’être bienveillant, et d’avoir la compassion à leur égard ou de porter les problèmes des autres.
Nous avons plusieurs cas dans la bible qui ont crié à Jésus de les guérir de leur cécité et il leur a accordé la grâce comme Bartimée.
La bible nous présente également une maman qui manifeste sa compassion envers son enfant.
Deux femmes accouchent au même moment, sont dans la même chambre.
Pendant la nuit, une d’elles se couche sur un bébé et l’étouffe mais elle refuse de reconnaître sa faute.
Elle change les bébés, prend celui qui est vivant et donne le bébé mort à la voisine.
Une discussion se lève contre elles.
Elles vont pour être jugées et celle dont le bébé etait en vie et sortait de ses entrailles préfère le donner, le confier, l’abandonner dans les mains de l’autre de peur que l’enfant ne meure.
A cause de l’amour pour son enfant, elle fait ce sacrifice, la compassion l’a poussé à sauver son bébé.
La compassion de la chair n’est pas là compassion de Dieu.
La compassion n’est pas un débarras, c’est partager les souffrances des autres.
Une femme a commis l’adultère dans la bible et la loi disait qu’il faut la lapider mais Jésus prend sa défense et la délivre de la mort.
Et c’est même ce que nous dit Exode, 22:26 – Si tu prends en gage le vêtement de ton prochain, tu le lui rendras avant le coucher du soleil;
Exode, 22:27 – car c`est sa seule couverture, c`est le vêtement dont il s`enveloppe le corps: dans quoi coucherait-il? S`il crie à moi, je l`entendrai, car je suis miséricordieux.
Be committed in treating others with compassion.
Ça ne nous dit rien de prendre la chose de notre prochain et de la confisquer.
La bible nous explique que s’il nous arrive de prendre une garantie qui est comme une sécurité, une protection, une assurance pour notre prochain, rassurons nous de la lui faire prévenir même s’il n’a pas rempli ses obligations.
Le Seigneur nous interpelle à venir en aide, à comprendre les autres, à tendre la main.
Si ce nécessiteux va vers le Seigneur, il interviendra.
Si nous sommes de marbre devant de telle situation, l’Eternel lui est toujours entrain de secourir ceux qui lèvent les yeux vers lui.
Bienaimés, laissons l’amour du Seigneur déposer en nous la semence de la compassion et prenons l’engagement de contribuer pour que la bonne nouvelle touche les coeurs.
Bonjour à nous
Bonne journée
Onde D.