Voici des vices qui minent notre société en général et notre pays en particulier: la cupidité et l’envie.
La cupidité, c’est l’insatisfaction, c’est l’égoïsme, c’est l’envie de posséder plus.
C’est le pouvoir, l’argent.
Nous voyons que ce fléau est de plus en plus installé, et certains pour mieux asseoir leur influence et leur autorité se sont livrés à des pratiques qui souillent l’univers spirituel.
La cupidité nous rend esclaves, nous pousse au péché.
Elle nous exige des sacrifices si nous voulons rassasier notre chair.
La cupidité devient très rapidement une addiction, c’est une idolâtrie.
La cupidité, c’est l’amour de l’argent, c’est mammon.
Le Seigneur prend bien la peine de nous rappeler qu’il est impossible de servir deux maîtres à la fois.
Soit nous sommes attachés à l’un et nous rejetons l’autre, soit nous aimons l’un, nous haissons l’autre.
Mammon possède les cœurs des hommes, les plient à sa loi et les asservit.
Faisons attention de toujours satisfaire nos convoitises harlurissantes, assouvir nos soifs de puissance ou de vouloir forger des assurances pour l’avenir.
Nous avons tous vu ce que la cupidité a fait à Juda, il a tout sacrifié: sa réputation, sa position, son onction, sa grâce.
Il n’avait pas compris qui était Jésus, il faisait parti des disciples mais il était un chrétien de bord, sans attachement, ni implication.
Une autre histoire dans la bible nous fait comprendre comment les biens nous contrôlent et nous manipulent.
Un monsieur est venu vers Jésus et a commencé à se vanter.
Pour lui, il était l’exemple même d’un serviteur.
Du moins, jusqu’à ce que Jésus lui dise qu’il ya encore une chose qu’il peut faire pour que le royaume soit content.
Le Seigneur lui a tout simplement donné une instruction, celle d’aller vendre ses biens, de les distribuer aux pauvres et de venir le suivre.
Ce conseil la attristé, pourquoi ?
Jésus voulait lui montrer à quel point son cœur est attaché aux choses de la terre, il voulait qu’il comprenne que les envies le rend encore vulnérable.
Frères et sœurs, sortons de ce milieu, de ces fréquentations qui nous obligent à nous prostituer pour ce qui est éphémère, vide.
Tout ça pour de l’apparence, de faux clichés, des façades qui nous couvent pour un moment et l’instant après, nous ne sommes que de vers de terre.
C’est l’Égypte qui veut nous garder dans la servitude, c’est les hommes qui veulent nous faire croire que c’est nécessaire.
Balaam, un envieux, un cupide a beaucoup de cadeaux pour maudire Israël, un peuple dont il était lui même conscient qu’il ne pouvait pas déstabiliser.
Il a fait confiance à sa divinité pourtant le Seigneur est au dessus de toutes nos manigances.
Ecclésiaste, 5:10 – Celui qui aime l`argent n`est pas rassasié par l`argent, et celui qui aime les richesses n`en profite pas. C`est encore là une vanité.
Fast and pray to be delivered from cupidity ans envy.
Lorsque nous aimons trop une chose, nos cœurs sont trop attachés, nous voulons toujours plus, nous sommes plus concentrés à chercher l’argent plutôt que d’en profiter.
Et tout ce que nous cherchons sur la terre, reste sur la terre.
Nous ne l’emporterons pas dans nos cercueils.
Detachons nous de vaines choses,
Laissons Jésus nous délivrer de la main du diable qui ne cesse de nous dominer et de nous déformer.
JÉSUS est notre pourvoyeur, comptons sur lui, il ne fonctionne pas avec les cupides et les envieux.
Il est notre modèle.
Copions sur lui et célébrons le.
Bonjour à nous
Bonne journée
Onde D.