Tout le monde peut être béni mais…
Tout le monde peut être célébré mais…
Tout le monde peut sauter et crier de joie mais…
Tout le monde peut se dire heureux mais…
Il ya bénédiction et il ya bénédiction.
Toutes les bénédictions n’ont pas la même force, ni la même intensité.
Toutes les bénédictions n’ont pas la même puissance.
Il y en a qui sont belles ou normales,
D’autres qui sont grandes,
D’autres qui ont du chien, qui sont waouh et qui étourdissent les oreilles qui les entendent.
Le tout n’est pas d’être béni mais c’est de savoir maintenir la bénédiction debout.
Voilà tout notre problème, voilà là où les Saül, les Jeroboam ont merdé.
La sunamite, une femme de distinction avait la gloire du monde, tout le monde la disait heureuse, elle se riait du lendemain mais elle avait un problème, son mari était vieux et elle n’avait pas d’enfant.
Pour appeler sa bénédiction, elle s’est dit qu’elle va faire ce que jamais personne n’avait fait auparavent, non seulement elle devait inviter le prophète dans sa maison, elle devait aussi le nourrir et le loger.
Elle s’est dit qu’elle pouvait ouvrir ses portes pour l’œuvre de Dieu, inviter le Saint Esprit à demeurer dans sa maison mais surtout à stabiliser la présence de Dieu en construisant un autel, une chambre haute, en établissant une autorité spirituelle au dessus de sa tête.
Elle s’est mise au service de Dieu.
La bible nous raconte qu’Elisée n’a pas été indifférent face à cette hospitalité.
Il était prêt à voir le roi pour que cette femme ait des faveurs dans la cité mais elle avait besoin d’autre chose.
D’une bénédiction, d’une parole révélée, elle voulait que la voix de Dieu aille secouer ses entrailles, elle voulait que l’homme déclenche la semence qui porte les fruits, elle voulait un fils pour être accomplie.
Élisée lui fait une promesse et relâche un fils dans son sein, la chose arrive mais il se trouve qu’à un moment, le fils de la sunamite meure, la bénédiction s’en est allée, elle s’est éteinte.
Comment est ce possible que la bénédiction de Dieu meure ?
Est ce que c’est vraiment le Seigneur qui nous a offert ce bienfait ?
Toutes les questions fusent dans nos têtes et nous frustrent.
Cette histoire nous apprend que nous devons apprendre à demeurer dans la bénédiction, nous devons apprendre à garder nos cadeaux au chaud, nous devons même pouvoir ressusciter notre bénédiction si elle nous quitte.
Et c’est ce que cette dame a fait, elle a refusé d’accepter l’échec, l’opprobre.
Elle était déterminée, elle n’a pas baissé les bras, elle est répartie vers celui qui lui avait fait ce paquet, elle s’est rapprochée vers la bouche autorisée qui avait parlé.
Bref, elle n’était pas venue négocier mais montrer sa peine, sa douleur, sa souffrance auprès du Seigneur.
Bien-aimé, le zèle de cette dame, son discernement, son assurance, sa foi a obligé le Seigneur à s’arrêter sur son cas.
L’Eternel avait une dette envers elle, il lui devait une récompense.
Son autel, son offrande, son sacrifice… sont montés jusqu’au trône de gloire.
Voulons nous demeurer longtemps dans nos bénédictions ?
Attachons nous au cep.
Lévitique, 25:21 – je vous accorderai ma bénédiction la sixième année, et elle donnera des produits pour trois ans.
Pray for you blessings to last long.
Dieu nous fait entrer dans notre repos.
Dieu promet de rendre abondante notre récolte, il nous donne de la provision sur de longues périodes.
Alors bénissons le Seigneur qui est amour et qui est fidèle.
Que son nom soit puissamment élevé au dessus de tout nom.
Merci Jésus.
Bonjour la team
Bonne journée
Onde D.