Le peuple au cou roide s’était fatigué d’attendre Moïse qui était sur la montagne de Sinaï pour recevoir les instructions du Seigneur.
Moïse est allé quarante jours et quarante nuits et Israël s’est construit son dieu, un veau d’or, fait de main.
Comment Israël, vous avez pu décevoir le Seigneur qui à veiller sur nous, vous a montré le chemin avec sa colombe de nuée et vous a éclairé avec sa colombe de feu ?
Comment avez vous pu oublier la manne qui est tombée du ciel pour vous nourrir?
Comment avez vous négligé et trahir la présence de Dieu au milieu de vous ?
Que nous sommes oublieux !
L’attente est un fruit de l’esprit.
Israël a préféré se fabriquer une image pour adorer.
Voilà comment nous agissons tous quand l’attente nous ronge, nous créons nos dieux, nous réinventons des stratégies pour nous faciliter la tâche, nous créons des raccourcis pour nous réjouir le temps d’un instant.
Après le péché d’Israël, ceux qui ne se sont pas repentis ont trouvé la mort, plusieurs ont été tués.
Tout ça, parce qu’ils avaient perdu l’espoir de voir Moïse revenir et ils ont laissé les pensées Égyptiennes les submerger, la compromission s’est installée.
L’impatience nous fait perdre notre bénédiction.
Saül est le chef de l’armée d’Israël mais il n’est pas le sacrificateur.
Saül a cru que les choses spirituelles sont comme les choses physiques.
Il avait reçu l’instruction d’attendre jusqu’à ce que le prophète Samuel arrive pour offrir les holocaustes au Seigneur.
Il s’est laissé intimider par sa position et par la foule et il a désobéi aux ordres que le Seigneur avait donné.
Voilà comment Saül a perdu la royauté.
L’impatience nous vole notre joie et notre paix.
L’impatience, c’est la satisfaction de la chair.
Et plusieurs fois, nous avons marqué à nos promesses à cause de notre empressement à vouloir faire ou avoir comme nous le souhaitons.
L’impatience déforme la grâce de Dieu dans nos vies et nous empêche de voir la lumière de Dieu.
Voici la consigne du jour: Pray to remain patient while waiting on results.
1 Corinthiens, 15:36 – Insensé! ce que tu sèmes ne reprend point vie, s`il ne meurt.
L’insensé, c’est un incrédule, c’est un fou, une personne qui ne réfléchit pas.
Le grain de la semence semé en terre doit mourir avant d’amener une vie nouvelle.
Il faut être patient pour que la résurrection apparaisse.
Soyons patients quand nous sommes en Christ, tant que Jésus ne revient pas, attendons le dans la consécration et la sanctification.
Bonjour à nous
Bonne journée
Onde D.