Après nous avoir prévenu de ne pas perdre de vue que nous sommes des sentinelles,
tu nous sommes encore de prendre soin de nos frères.
Vraiment Seigneur, tu nous mets parfois en insécurité,
rien acquis avec toi, chaque jour, nous devons faire des actes de foi.
Nous avons donc la responsabilité de nous occuper des nécessiteux mais Éternel, ces indigents dans nos ministères qui ne marchent qu’avec leurs problèmes,
ces assistés qui sont des éternels insatisfaits,
ces démunis qui ne font rien pour prendre le relais de la générosité…
Ils sont parfois ingrats, sans reconnaissance, orgueilleux et en tant que tes serviteurs, nous sommes parfois meurtris par certaines attitudes.
Mais ta parole est une lampe à nos pieds,
nous devons nous plier aux instructions et faire taire nos émotions.
Le veuve de Serepta a bien compris la leçon, elle a bien intégré qu’elle doit partager de son pain avec Élie qui est dans le manque.
Le prophète est venu sous recommandation du Seigneur, mais il faut aussi que la femme de Serepta soit mature pour comprendre que l’amour de Dieu, c’est aussi la communion fraternelle.
La famine avait pris autorité dans la ville,
elle voyait les gens mourir,
elle voyait la sécheresse et la stérilité envahir le pays.
Elle savait qu’elle était déjà à la fin de ses jours lorsqu’Elie a débarqué chez elle.
Ce qui nous surprend dans l’histoire, c’est qu’Elie ne tient pas compte du contexte dans lequel il est, il arrive et s’impose.
La veuve de Serepta se plaint de son manque mais le prophète n’est pas intéressé.
L’on pourrait penser que le prophète est ingrat,
il profite de sa stature pour intimider la dame qui compte son temps de vie.
Ce qui nous intéresse ici, c’est que la maman était un enfant de Dieu,
elle était devant un serviteur,
elle savait que s’occuper d’un homme de Dieu, c’est prend soin de Dieu. Elle savait que prendre soin d’un faible, c’est prêter à Dieu qui devait certainement la récompenser à un moment de sa vie.
Elle n’a pas maugréé et elle a contribué au bien être de son prochain.
C’est un oint du Seigneur que nous avons pris en exemple mais ça pouvait être n’importe qui, et aussi longtemps que c’est possible,
aidons nos frères,
parlons leur de la parole de Dieu,
prenons soin d’eux, donnons leur de notre temps,
contribuons à leur épanouissement.
Galates, 6:1 – Frères, si un homme vient à être surpris en quelque faute, vous qui êtes spirituels, redressez-le avec un esprit de douceur. Prends garde à toi-même, de peur que tu ne sois aussi tenté.
Pray and care for your brothers and sisters in the faith.
Notre rôle n’est pas de critiquer, de condamner, de juger mais de soutenir, d’aider, d’encadrer, de secourir…
Faisons attention pour ne pas aussi copier le mauvais exemple et c’est pour cela que nos devons être sans cesse connectés au trône de grâce.
Bonjour à tous
Bonne journée
https://youtu.be/Ht0aibQy7gY?si=VY7ZqcnP_D9B-ZGo
Onde D.