Seigneur, nous voulons te rendre grâce pour tout l’amour que tu ne cesses de nous porter.
Nous voulons te dire merci pour ta présence qui nous accompagne tous les jours.
Merci pour ta fidélité en cette saison, tu es celui qui nous fortifie quand nous sommes dans le découragement.
Reçois toute la gloire, Papa.
Tu es sans pareil et ta puissance est authentique.
Ce matin, nous sommes à tes pieds pour te supplier de briser les chaînes du commérage que tu nous reproches depuis longtemps.
Le commérage, c’est la médisance,
c’est la divulgation des secrets, des rumeurs, des scandales…
Tous les jours, nous sommes plongés dans ce vice,
nous sommes toujours entrain de mettre les autres au courant des derniers divers.
Parfois, nous disons que nous écoutons juste mais sachons que nous sommes autant impliqués que ceux qui parlent et ceux dont on parle.
Le commérage, c’est le manque de discipline de nos langues.
Nous le faisions pour nous vanter parfois, nous sentir supérieurs et c’est un manque d’amour.
Et les femmes en sont les championnes, surtout les veuves.
Elles sont sans activité, elles sont bavardes et indiscrètes,
elles font le tour des maisons les unes les autres pour répéter les informations et déformer les situations.
Le commérage provoque les querelles et les divisions.
Combien d’amitiés avons nous brisé sur un malentendu causé par un commérage?
Les médiseurs minimisent toujours la gravité de leurs péchés, ils sont des menteurs, toujours entrain de tout nier et de trouver des excuses pour se justifier, ils ne reconnaissent jamais leurs tords et accusent toujours les autres.
Les rapporteurs d’histoire ajoutent toujours des détails, des mensonges pour pimenter leurs récits et avoir de bonnes réactions.
Bien-aimés, grandissons en amour, en gentillesse envers les autres.
Au lieu que nos bouches bénissent et élèvent les autres,
elles se chargent de dénigrer, de faire des dégâts en parlant mal des autres.
En tout cas, faisons attention pour ne pas tomber dans le péché.
Le Seigneur en a horreur.
Tite, 3:1 – Rappelle-leur dêtre soumis aux magistrats et aux autorités, d
obéir, dêtre prêts à toute bonne oeuvre, Tite, 3:2 - de ne médire de personne, d
être pacifiques, modérés, pleins de douceur envers tous les hommes.
Pray that you will not be subject to gossip.
Honorons nos autorités et surtout gardons nous de faire des commentaires malsains qui détruisent nos vies et nos destinées.
Nous devons être des personnes qui apportent la paix, la douceur, qui éteignent le feu qui brûle et qui sont prudentes dans leurs paroles.
Nous devons être respectueux dans nos propos.
L’amour ne fait point de mal à son prochain.
Bonjour la maison
Bonne journée
https://youtu.be/fbXYWydIEIo?si=Zuh2GuKWvAY0u4-z
Onde D.